lundi 18 octobre 2010

Totalitarisme linguistique québécois

Je pose ici une question. « Est-il normal qu’un étudiant qui arrive au CEGEP après onze années d’études au primaire et au secondaire ne sache pas lire, écrire, ni parler le français correctement? » J’ose espérer que le non remporte une bonne note.

J’écoute dialoguer les grands penseurs, dont la plupart bilingues, de la belle province qui se battent contre l’admissibilité des francophones de souche à l’école anglaise. Tous ces beaux discours pour la sauvegarde du français me congestionnent les oreilles par ce trop grand afflux d’hypocrisie.

On ne peut se battre contre la vertu, mais encore faut-il que cette vertu ait du sens. Au travers de toutes ces belles paroles, un mot m’interpelle; Le droit. Un droit individuel qu’on veut encore enlever à la population dans une société qui se vente de sa grande ouverture et du respect des droits de la personne. Société fortement jugeuse des autres.

La défense d’une langue et sa longévité ne passe pas par la privation des droits individuels, mais par l’excellence de son enseignement et la transmission de sa fierté. Depuis le début de ce débat totalitariste quelqu’un a-t-il remit en cause l’enseignement? PERSONNE!

C’est le monde en l’envers. En ces temps ou l’improbable se produit alors que Fidel Castro nous parle d’ouverture et de privatisation nous on parle de plus en plus de fermeture, de privation et de publicisation. Pour ceux qui veulent la cubanisation unilingue francophone boiteuse du Québec et promouvoir la stagnation des plus démunis privés d’agrandir leurs connaissances, votre heure se rapproche et notre liberté collective s’éloigne.

Présentement je n’ai pas peur de perdre mon français ni de le voir disparaître mais je dirais plutôt qu’à voir aller les choses il y a de quoi perdre son latin. Les fondations même de notre langue.

dimanche 22 août 2010

Obésité infantile


En se fiant sur l’état actuel du réseau de la santé auquel plus de 40 pour cent du budget provincial est consacré, on a d’autre choix que de se demander où nous en serons dans quelques années. Population vieillissante, dénatalité observée dans les années passées, un simple calcul logique nous en donne les lignes principales.

Ces lignes de calcul de base risquent d’être bouleversées par un intrus sournois et le résultat final pourrait bien ne pas correspondre à leurs simplicités et à leurs logiques. Je veux parler ici de la mauvaise santé et de l’obésité grandissante observable chaque jour chez les enfants d’aujourd’hui; les payeurs de demain.

Chaque fois que je sors de chez nous et que je me présente à quelque part, c’est inévitable, je suis certain de voir bon nombre d’enfants et d’ados en important surplus de poids.

Je ne veux nullement parler ici d’esthétisme mais bel et bien de santé. Quand est-ce que les parents vont réaliser qu’ils hypothèquent gravement la santé de leurs enfants. Ces enfants condamnés au diabète, aux maladies du cœur, les blessures dues à la mauvaise forme physique etc. Ensemble de problèmes qui risque de se traduire entre autre par de l’absentéisme au travail et une importante augmentation de la pression sur le réseau de la santé. Problèmes qui n’auront d’autres résultats que de faire grimper les frais de tout azimut d’une façon exponentielle.

Je suis toujours triste de voir un enfant en surplus de poids car je ne peux que voir en lui un enfant mal aimé et un futur individu malade. Désolé de voir un enfant victime de l’irresponsabilité d’autrui.

Pour ceux qui auraient tendance à ne voir aucune responsabilité parentale dans cet état de fait je les invite à regarder le panier d’épicerie des ces jeunes victimes et les habitudes de vie inculquées.

La santé n’a d’autre chemin que celui de la bonne nutrition et l’activité physique; carence importante dans trop de foyers québécois.

Pour terminer je m’adresse à ceux qui sont choqués par mon opinion, dites vous bien que je m’en fous car ce type de mauvais traitement infligé aux enfants est encore plus choquant à mes yeux et que j’ai toujours plus de fierté à prôner le bien plutôt qu’à défendre le mal.

jeudi 24 juin 2010

Questions à Jean-Martin Aussant

Suite au discours séparatiste de la fête de la St-Jean de Jean-Martin Aussant, député péquiste dans Nicolet/Yamaska , je lui ai soumis mes opinions et mes interrogations.


Monsieur Aussant, j'étais au parc à Nicolet hier soir pour les cérémonies de la St-Jean. Ne craignez-rien je m’y suis rendu pour les feux et non pour festoyer.

J’ai entendu votre discours au côté de la représentante de la société St-Jean Baptiste. La St-Jean est-ce la fête du Québec et de tous les québécois ou la fête des indépendantistes?

On nous a venté les mérites du génie québécois sans nommé aucun exemple de réussite sauf Bombardier et sa moto à trois roues. Vous, vous nous avez parlé du cirque du soleil, Céline Dion (qui ne demeure plus au Québec) et de Robert Lepage. Trois monuments culturels, c'est dire qu’au pays de l’étatisme levant il n’y a de langue que pour la culture qui n’existe que par le biais des subventions démesurées qui font de nos artistes des intellectuels richissimes à nos frais.

Quand on nous parle des impôts volés par Ottawa je trouve toujours drôle qu’on nous parle jamais de la péréquation dont le pays de l’étatisme levant bénéficie plus que les autres.

Le Québec est surendetté et sa dette augmente de tout près de 28millions par jour. Quels sont les plans pour s’en sortir? Si le Québec est dans cette position il en est le seul et unique responsable. Je trouve que c’est trop facile de mettre ça sur le dos des autres.

Si vous repreniez nos impôts à Ottawa parlez-vous de ma part que j’envoie chaque semaine sur mon talon de paye? Donc l’état de l’étatisme levant viendrait rejoindre les meneurs des états les plus imposés au monde. Serions-nous, dictature en moins je l’espère, au coté de la Coré du nord?

Vous nous parlez d’une séparation en douceur et sans embûche en mentionnant que tous les états qui se sont séparés l’ont fait sans heurt. Encore une fois ici aucun exemple de votre part. Encore une fois on passe sous silence certain état de l’ex URSS, l’ex Yougoslavie qui vivent soit la guerre ou la pauvreté extrême. On ne parle pas non plus des mouvements qui sont un peu plus agressifs comme les Sikh et les Basques. Mais quand il est temps de se joindre à une cause par pure démagogie, on défend les palestiniens qui pour chaque 50 bombes qu’ils font sauter en territoire israéliens, la seule démocratie de la région, Israël attaque une fois.

Il y a quelques années François Legault nous avait promis un budget pour prouver la validité économique actuelle d’un Québec indépendant. Le même soir de sa sortie, son budget était déjà démoli, même votre parti l’a laissé tomber. Il n’a même pas survécu 24 heures. Personne depuis ce temps n’est revenu avec un plan quelconque sauf des paroles en l’air nous disant que tout va bien aller.

Je viens d’une famille de séparatiste, en ’80 j’étais trop jeune pour voter mais assez vieux pour m’en souvenir (je me souviens) et en ’95 j’ai voté oui. Vote que j’ai regretté amèrement suite au discours de Jacques Pariseau (je me souviens). Merci à lui, il à fait en sorte que je m'ouvre les yeux. Soyez certain que plus jamais je voterai oui dans une future perte de temps, d'argent et d’énergie dans un éventuel referendum. J’ose espérer que le pays de l’étatisme levant ne gaspillera plus d’énergie à cette cause mais plutôt à remettre la belle province sur les rails car il n'y a aucun autre responsable de l'état actuel des choses que celle-ci.



lundi 14 juin 2010

La fable Québec et Titanic


Il était une fois un immense territoire cinq fois plus grand que la France avec une population de presque dix fois inférieur. Au quai depuis quelques centaines d’années, il décida de commencer à prendre son destin en main afin de naviguer sur l’océan planétaire.

Le capitaine, n’ayant aucune expérience pertinente pour prendre les commandes d’un aussi grand défi, se disait qu’il ne pouvait faire pire que les autres. Il fit larguer les amarres et l’immense territoire ayant à son bord son équipage et ses passagers, quitta le quai. Tranquillement le grand voyage débuta.

Au fil des heures et des jours, voyant que tout se déroulait parfaitement, le capitaine commença à songer à voguer seul en voulant délaisser les balises érigées par la compagnie mère propriétaire de douze autres navires accostés au même quai. Le capitaine semblait oublié que si ce navire était viable c’était aussi grâce à la compagnie mère qui payait avec l’aide des autres navires pour le carburant, les vivres, les équipements de bord etc…

Par péché d’orgueil, le capitaine et une poigné de son personnel commencèrent à mettre son plan à exécution. Le grand territoire prit de plus en plus de vitesse. Ignorant les règles de base de sécurités, le capitaine fit fi des avertissements de ceux qui s’opposaient à une telle attitude. Il en vint à se prendre pour Dieu lui-même et aidé de ses apôtres, il s’enlisa de plus en plus dans ses idées et son avarice.

Tout près de la moitié des passagers trouvaient que le capitaine était le maitre incontesté et comme avec un gourou, ils le suivirent les yeux fermés. Pourtant un peu plus de la moitié de l’équipage et des autres passagers, considérés de second ordre, les mettaient en garde contre le système unique du capitaine disant qu’ils allaient courir après leur perte. Malgré que les opposants fussent supérieurs en nombre, on n’entendait parler que ceux fidèles au capitaine. C’était l’ordre de la pensée unique.

S’étant détourné de sa route prévue, le territoire voyait ses réserves de toutes sortes fondre comme glace au soleil. Rapidement l’aide de la compagnie mère ne suffit plus pour subvenir aux gourmandes demandes du capitaine. Puis vint la collision. Le point de non retour. Le territoire allait couler. Plusieurs ne le croyait pas. Tous avaient entendu les avertissements et le bruit assourdissant de l’impact, mais très peu les écoutèrent.

L’eau avait rempli les premiers étages inférieurs mais le capitaine et le concepteur ne croyait pas encore qu’ils allaient couler. Malgré le tangage, on s’obstinait à ne pas vouloir le croire.

Quand les aveugles verront et les sourds entendront ce sera la panique. On voudra utiliser les barques de secours mais plusieurs mourront faute de savoir lire les instructions pour les mettre à l’eau. Dans la désolation la plus totale, un petit nombre sera témoin de la disparition de ce magnifique et immense territoire. Il aura coulé aussi vite qu’on l’aura fait flotter.

Je me pince et ça fait mal, non je ne rêve pas.

dimanche 13 juin 2010

Si le Nascar était québécois

voilà comment se déroulerait une course de Nascar québécois. La course par excellence du gouvernement et de la machine étatique québécois parce-que les voitures tournent en rond.

À la ligne de départ on commencerait par chialer parce-que la voiture bleue a 3 livres et demi de moins de pression d'air dans ses pneus que la rouge. Tous égaux!

Il y aurait au moins trois faux départs. Un premier faute d’avoir vue le signal du départ pour avoir les yeux et les oreilles bouchés. Un second parce-que la voiture rouge a un commanditaire de plus que la bleu, ce qui vaudra des manifestations dénonçant la richesse de la rouge. Ensuite viendraient les manifestations des pilotes contre les propriétaires d'écuries. Ils voudraient le 3/4 des profils. Par-contre pas question d’assumer quand il s'agit de pertes. Les propriétaires sont riches, qu'ils payent criss.

Puis enfin le départ se donne au grand bonheur de la foule mis de côté malgré qu'elle paye de ses poches une grande partie du salaire des pilotes.

Une voiture, la rouge, part de l'avant les gaz à fond. Trois autres ne roulent qu'à 50 km/h. Ils se foutent de ne pas gagner car ils sont payés de toute façon, à quoi bon de se défoncer? Cinq partent de reculons. Comment pourraient-ils imaginer gagner. La compétition? Trop dangereux. Tout d'un coup qu'ils perdraient en essayant de gagner, vaut mieux ne pas prendre de chances. De toute façon gagner c'est trop d'implication. Ça demande beaucoup trop d'efforts... Il est préférable d'aller de reculons que de l'avant pour ne pas risquer de perdre les acquis. De toute manière à leur mort ils ne seront plus là. Au diable les générations futures.

Voyant cela, les propriétaires décident de faire appel à des pilotes privés. Un tollé s'élève de la part des pilotes et à la grande surprise de tous, aussi de la foule. Malgré le fait qu'on risquerait d'améliorer le spectacle, on s'objecte contre l'idée. Pauvres pilotes scande la foule. Le spectacle est platte, car une course sans compétition n'est plus une course mais comment imaginer d'appauvrir ces incapables.

Puis après plusieurs jours et des dépassements de coûts importants, les 50 tours sont enfin complétés et la rouge gagne. La seule à être partie de l'avant plein gaz et ayant maintenue une vitesse moyenne de 260 km/h malgré les embûches des traineux de pieds.

Après la course, personne pour féliciter le pilote. Les médias sont trop occupés avec le perdant. Dans les journaux le lendemain on verra en gros titre "Encore le même qui gagne" "C'est toujours les même qui ont tout." Puis on promet un dossier journalistique complet sur les problèmes et les épreuves personnelles du grand perdant pour ainsi faire d'un looser un héro.

L’utopie de la gauche québecoise


La gauche québécoise, à l’image du parti Québec Solidaire, n’a que de bonnes intentions. Pouvons nous le leur reprocher? Jésus n’a-t-il pas dit que la vraie religion était d’aider la veuve et l’orphelin? Malheureusement, pour ma part, cette idéologie socialiste tel que présentée est dépourvue de sens. C’est comme le chien qui court après sa queue. Pour donner il faut avoir et pour avoir il faut recevoir. Qui commence?

J’imagine mal de combattre la pauvreté en prônant l’augmentation des primes d’aide sociale, par l’obtention de frais scolaires bon marchés ou en offrant toujours plus de services gratuits en pigeant dans le porte feuilles des travailleurs. Ceci n’équivaut seulement qu’à entretenir et non à combattre la pauvreté. C’est construire une économie stagnante et non productive qui tout ou tard s’effondrera. Les besoins de la classe moyenne, celle qui est la plus touchée par les perceptions de toutes sortes, sont de plus en plus criants. C’est à cette classe qu’on impose l’appauvrissement pour une soit disant création de richesse. Un enfant pense qu’il suffit de se présenter au guichet automatique pour avoir de l’argent. L’idéologie gauchiste croit de même avec le gouvernement. On oublie facilement l’effort de celui qui apporte l’eau au moulin.

C’est en passant par la responsabilisation et la pro activité individuelle. C’est aussi par la création d’emploi qu’on combattra la pauvreté. Ce qui implique que certaines gens feront plus d’argent que d’autre. Il y aura toujours des plus riches et des plus pauvres.

Au lieu de prôner l’augmentation des charges sociales, pourquoi ne pas venir en aide aux entrepreneurs, qui eux, à leur tour, contribueraient d’une manière certaine à la création de la richesse et ainsi aider les plus démunis en augmentant l’accès à un salaire régulier. Diminuer les charges sociales tout en augmentant les revenues de l’État par ces nouveaux payeurs de taxes et d’impôts, bonifierait les moyens du gouvernement pour rembourser la dette sans cesse grandissante (ce qui à mon sens est impossible). Ça permettrait d’accroître les efforts en recherches de toutes sortes et faire du Québec un leader planétaire dans l’innovation et les technologies de pointe.

Le paradoxe du socialisme tel que présenté par certain groupe, c'est qu’au nom de l’individu et l’utopie de l’égalité, trop souvent le bien être et l’avenir de la collectivité sont mis de côté ce qui est contraire à sa base idéologique.

Malgré le fait que je considère l’idéologie socialiste quelque peu rêveuse voir irréaliste, il n’en demeure pas moins qu’elle a une place. Elle contribue, à sa façon, au maintient d’un meilleur équilibre des forces. Par contre, porter le socialisme au pouvoir ou lui donner trop d’importance est un luxe dispendieux dont peu de pays dans le monde ont les moyens de se payer. La gauche est l’illusionniste qui utilise la vertu comme illusion pour émerveiller.

samedi 12 juin 2010

Gagner la vie des autres

Québec, terre d’accueil pour les travailleurs et les investisseurs qui désirent y faire des affaires et gagner leur pain quotidien. Bienvenue à tous!

Ce qui se cache derrière ces belles paroles c’est: venez vite dépenser votre argent dans notre puis sans fond, car nous avons besoin de plus en plus de poissons pour remplir les coffres de l’état qui dépense à qui mieux mieux au nom d’une collectivité et des fonctionnaires qui en veulent toujours plus.

On ne parle pas ici des amis du parti qui s’en mettent plein les poches. Les amis du parti... Je croirais entendre un soviétique à l’époque de la guerre froide où le communisme régnait sur sa grande nation, où tous vivaient pour un et, où tous visaient l’égalité et l’homogénéité des uns et des autres.

Jusqu’à quand, nous, les quelques 42% de québécois payeurs d’impôts seront capables de payer? On nous coupe nos salaire chaque semaine avec la régis des rentes, impôt provincial, fédéral, assurance emploie, assurance médicament ou assurances groupe, qui est une assurance privée soit dit en passant, assurance parentale, vieillesse etc... Taxes sur l’alcool, l’essence. Taxes de 13% sur les produits et services et combien j’en passe. On a fait grimper en flèche le prix du permis de conduire auquel on ajoute les augmentations de prix des plaques automobiles et de motos.

Comment est-il possible que celui qui détient un monopole aussi important puisse en arriver à se diriger vers la faillite? Comment un gouvernement qui détient le monopole pourvu de la formule la plus rentable puisse en arriver à justement ne plus arriver? Je ne parle pas encore des frais d’électricité et des augmentations prévues par Hydro-Québec. Si je réussissais à faire de même avec mon budget personnel, le gérant de ma banque ferait partie présente de ma vie à chaque jour qu’il me serait permit de vivre.

Si on ajoute à ça les coûts reliés à l’hiver, j’en arrive à me demander si il ne serait pas plus avantageux d’aller travailler à petit salaire au Mexique, car en bout de ligne, la différence du pourcentage de mon salaire qu’il me reste après avoir payé pour les obligations que la vie au Québec m’impose, est très faible.


En plus d’être étouffé par les coûts qu’on me fait payer, voilà que ceux que je fais vivre avec mon argent, c'est à dire le secteur publique, et qui dans biens des cas ont des conditions de travail beaucoup supérieures aux miennes, menacent de me prendre en otage en paralysant des services essentiels monopolisés par ceux-ci, le tout, dirigé par des organismes capitalistes sauvages que j’ai nommés "syndicat" qui se cachent derrière les vertus du socialisme pour se donner bonne image.

Je ne ferai pas partie de ceux qui festoieront la St-Jean car je n’ai rien à fêter, parce-que dans le fond, il n’y a aucune fierté à fêter. Maintenant veuillez m’excuser car je dois quitter pour le travail. Je dois aller gagner la vie des autres.